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Sur la pochette de cet album Frederic jean est plus dans la posture du masupilami de dionysos mathias que dans celle d’un compteur d’histoire surréaliste et drôle, et pourtant. La déception sera de ce fait réelle à la première écoute. Je perdais mes repères préétablis, celle d’une musique nerveuse et tourbillonnante, me retrouvant avec un Dutronc qui aurait fait la vaisselle chez katerine un soir d’engueulade chez birkin et Gainsbourg. Avec des textes faisant du futile un arrangement entre le bon goût et l’intelligence, hyperclean promet de nous faire rire jaune avec un humour aux degrés aussi différents que ceux du panaché et du spiritus. Si les yéyés existaient encore, prison serait un hymne révolutionnaire et fermer ta gueule rentrerait dans les dictionnaires de la subversion. Hyperclean loin de tout aurait pu trouver refuge chez tricatel plus que chez lithium (des lapins loin de Dominique A) entre le houellebecq terrifiant et huileux et as dragon. Hyperclean mais pas trop, hyper stylisé, mais avec talent. Bon maintenant barrez-vous sinon Frederic va appeler son père.




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