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La symétrie semble être le cheval de bataille de Adrian Crowley, sorte de Leonard Cohen qui aurait croisé les membres de Dead Can Dance en sortant un séminaire chez les moins bouddhistes. Pour lui la droite doit être le reflet de la gauche et inversement, et si physiquement l’impossibilité de créer cette symétrie, il la cherchera dans l’action et la résultante, dans la création et sa réaction. Si il utilise un construction que ne renierait pas des Tindersticks lumineux, c’est avant tout pour obtenir la mélancolie chez l’autre. « Season Of The Sparks » a une face subliminale qui lie les chansons et l’affection qu’elles entrainent. Evidente connexion avec Cohen, avec cette maniére de s’inscrire dans une mythologie de la musique, avec des titres comme « The Tree Sisters » ravissement de bout en bout, chanson après laquelle les Walkabouts se sont sans cesse écrasés contre, sans jamais parvenir à recoller les morceaux.. Avec Adrian la beauté semble naturelle, ne sur jouant jamais ce rôle de looser magnifique, car cette mythologie pour le coup elle doit aller au pilon.




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