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On finira pas ne plus dominer la peur de le dire, et vous soumettre cette idée et ce jugement, l’influence de Rodolphe burger va être importante dans les années à venir. L’influence de l’ex Kat onoma ou celle des travaux lointains de noir désir de serge teyssot gay. Sarapascal partagera certainement mon avis, lui qui sur un disque au fétichisme sonore rentré, assène à de textes entre désenchantement et rébellion, n’évitant pas l’écueil du démonstratif pour la leçon du soir (boire) mais réfléchissant avant tout à ne rien renvoyer. Les premières furent des claques, voulant de suite convoquer le bonhomme, lui donner le repas, boire avec lui, ne surtout pas le soigner, le laisser dans ce rap rockeux (essayons essayons)….sortir de lui si il le faut mais tout reste dans le domaine dés lors de la tentative. Sur une longueur, pendant un cycle, cet album fini par perdre de cette marque que peut nous laisser un café fort, mais qu’importe, on retourna avec urgence dans ces instants de folk sous terrain, au milieu de la structure métallique d’un métro construit pas les parents des cure sous la tutelle de l’ombre d’un joy division loin de la morgue. Vous allez me dire noir c’est noir, ici il n’y a donc plus d’espoir, peut être et alors, la beauté est l’enfant du désespoir et Bukowski l’archange de nos plongés obscures mais salvatrices. Et tant pis si le jon spencer n’est pas cité, mais bien voyant (de cercles les mots) car nous avons tous en la tête " I ve got flavour " et nous aimons les voleurs magnifiques. L’ivresse de la désespérance martiale et brutale. Énorme.




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