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Je vais la faire simple, avec ce petit zeste d’humour qui fait qu’une chronique happera ou non le lecteur ; ce premier EP de Radioator est chaud, voire brulant, mais il sait soigner les raideurs de nos corps en réchauffant nos muscles pour une élasticité meilleure. Piquant (bon là niveau humour j’en fais trop) et nous arrivant via le label basque Moï Moï Records (qui n’est pas un hommage à Enrico Macias, chez Enrico c’est Poï Poï Poï), Radiator est un duo composé de Botibol et de Peio Erramouspe (PolygornElorn). Le bien nommé « Death Visions » est un disque plein de vie, dynamique et rageur dans sa première partie, plus « rentré » dans sa seconde, se baladant entre rock et blues avec un son garage (mais un garage de luxe, avec la petite trappe qui te permette de changer le pot d’échappement).

La force de ces 4 chansons est l’alliance entre quelque chose qui pourrait écorcher nos oreilles si on se mettait à l’écouter très très fort, et une science mélodique qui est un miel doux et nourrissant nos âmes qui demandent de telles caresses. Ce mélange est détonant, à la fois « sauvage » et « tendre » (le chant sur Wainting For You est clairement un acte de drague imparable) il laisse le chroniqueur que je suis totalement incapable de finir ce papier avec une dose d’humour, avec ce petit truc qui fera que toi lecteur tu cliqueras sur le lien du label et que tu commanderas un EP qui en 11 minutes te raviras bien plus que nombres d’albums qui diluent pour durer. Tu peux me faire confiance lecteur, « Death Visions » est du concentré de musique qui va durer…pour faire très simple.




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