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Depuis une décennie et le saturé Softcore Paradise, les parisiens d’Acetate Zero prennent régulièrement rendez-vous avec une poignée de fidèles le temps d’un album, généralement de bonne facture. A l’instar de Bark Psychosis dans les années 90, Acetate Zero joue dans la pénombre, se moquant des étiquettes et des coutumes de la sphère médiatique. Affilié au post-rock et baignant à foison dans les mélodies de Hood, les parisiens poussent (involontairement ?) la ressemblance jusqu’à présenter une pochette qui n’est pas sans rappeler celle du fameux Rustic Houses Forlorn Valleys des frères Adams. Le début de l’album confirme à nouveau cette similitude, la suite oscille entre mélodies façon Bedhead, interludes instrumentaux frappés de distorsions et tentatives timides de démarcation qui doivent beaucoup à la gente féminine. Difficile donc de juger Acetate Zero sur la singularité de sa discographie. Néanmoins, suivre les sentiers battus par Hood et Bedhead est au minimum une preuve de bon goût.




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