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  • 3 mars 2008 /
    Bjork
    “medùlla”

    rédigé par gdo
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Lecteur adoré, il faut bien t’avouer dans quelles conditions est écrite cette chronique. Je suis allongé sur le sable, face à l’océan avec comme désaltérant une bouteille de vin blanc encore fraîche malgré la chaleur. Sur mes oreilles je n’ai rien, non pas même de walkman pour écouter ce dernier album de Bjork. D’ailleurs pourquoi me déplacer sur la plage avec un walkman pour chroniquer avec un album que je n’ai pas. Pas très bien de chroniquer un album sans l’écouter vous allez me dire. Mais que dites-vous d’avancer une sortie pour surfer comme les jeunes gens en face de moi sur une vague, dans le cas de Bjork celle des jeux olympiques avec ce pseudo inédit présent sur cet album. L’ex sugarcubes présentée comme le dernier des indépendants, l’est certainement, car pourquoi lui coller une batterie de communiquant et d’agent de produit quand la maîtresse est à ce point performant dans l’art de nous faire passer pour du poissons frais une pêche de la semaine dernière. Dépassant de loin maintenant U2 dans l’art de communiquer sur ses productions, Bjork fini par nous faire autant d’effet que la bande-annonce d’une superproduction américaine. De la poudre aux yeux. Au diable le concept des voix instrument et place aux jeux. Allons piquer une tête et reprenons par le début.




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