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Depuis l’arrivée de Kamini nous savons que la campagne peut regorger de talent (je blague). Si l’ennui est l’ennemi de l’homme, il peut être aussi une source d’inspiration, une obligation de faire sortir de soit le meilleur, ou comme dirait un commentateur de foot le moins pire. Nous arrivant tout droit de la Drôme, H Synyk fait parti d’une structure dont le nom en dit long (même si plus il est long plus il fait mal) taenia solium (ami du sceau au lait bonjour). Derrière cette chronique pleine de finesse que va certainement me racheter le sinistre Ruquier, se cache un vrai plaisir de vous présenter ce virus selective, album déroutant de rythmique avortée contrariée et perverse. Enfant illégitime de la référence numéro un du style, le glaçant Aphex Twin, H Synyk se joue du blanc pour lui faire connaître ce qu’il peut être le plus noir. Dérangeant (il va de soit que l’on ne sort pas de l’écoute de magie noire part 1 sans regarder en dessous son lit et derrière ses meubles et en pensant à la fresto) virus sélective se frotte aux maladies pour les râper en faire des filaments que des beat bondissants et dégénérés couperont de nouveau. Disponible en téléchargement libre et gratuit nous ne saurons trop vous conseiller de vous procurer l’objet, il regorge lui aussi d’effets que le toucher vous offrira.




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