Le vert et le rouge ne rejoignent que dans des points qui seront noir ou vert, le rouge lui gardera sa fureur et la rentrera. C’est un peu le résumé de ces trois titres offert par stéréogrammes sur une image proche qui elle aussi cherche son point de liaison. Loin du côté pataud de l’ours le groupe parvient à nous faire encore écouter du post rock, car plutôt que de définitivement tirer un trait sur la musique de Presley, le groupe s’évertue à prendre cette histoire pour un fil d’Ariane. Jouant avec un élastique le groupe tend le plus possible cette liaison, arrivant à stabiliser une histoire qui aurait pu finir par leur claquer en pleine tête. Stéréogrammes ont trouvé la force d’y croire, et nous avec eux aussi .