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Il y a un problème a chroniquer cet album de 2000 en 2001. C’est grâce aux oreilles fines d’un label français que status d’Elk city arrive dans les nôtres et ce pour ne plus les quitter. Pas de long discours à avoir status est une merveille pop label new yok usa. Trio à dominante numéraire masculine mais à dominante vocale féminine, Elk city va signer le retour de la scène pop new yorkaise. Le potentiel du groupe compilé dans le don’t cha wait éclate avec le chef-d’œuvre loves like a bomb, la réponse enjouée à la mélancolie latente aux papas fritas. Que ce soit le son vintage de dreams of steam aux arrangements somptueux, ou par le fall out of reach et sa façon de réconcilier chanson brute et douce, ce petit bijou de fille de renée est à tomber, loin de l’archétype grossier de la chanteuse à voix autoritaire et froide. Status devient alors réjouissant via un freeze two over eight (une sorte de blur à l’accordéon) sautillant et avec groundbreaking, un wedding présent hargneux et trés convainquant, noisy juste ce qu’il faut, et une rythmique entrainante et enjoué. Cette joie communicative peut entrainer le relâchement, ce qui est le cas sur le chocolate girl qui est loin de nous faire fondre, les vapeurs de solar girl empêche de voir la lumière ou tell the people chose que nous feront mais pas via ce morceau. Mais renée et son gang ont plus d’un tour dans leurs sacs, il s ’approprient les mamas and papas, sidèrent par le martial et calme mysteries unknown et nous posent en douceur via le long et énigmatique trapped qui clos ce disque qui séduit comme pouvait séduire le star de belly. Elk city brille et grâce à elle nous sommes bien dans la lumière.




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