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Oh toi lecteur, ne sois pas distrait et regarde bien le nom du groupe où le The a son importance. Nous t’avions présenté Audience, croisement entre Palace et les Rolling Stones, là c’est de The Audience qu’il s’agit, plus un croisement entre Bloc Party, Franz Ferdinand et un producteur sous tranxene, endormi derrière sa console. Certes tu vas me dire lecteur que sans chansons un producteur ne peut quasiment rien faire, mais c’est sans compter avec la jurisprudence Eno, très en vogue surtout en ce moment. Groupe typique des bouches trous à festival, The Audience est la résultante de plusieurs facteurs, dont celui de la globalisation internet, qui fini par donner son quart d’heure de gloire même à votre postier, qui en dehors de vous amener des missives d’un autre âge, joue un punk rock agressif avec comme revendication « rien à timbré du système ». Dans cette myriade de groupes qui nous arrivent certains parviennent à percer le pare feu des labels à la bourse vide, pour graver des exploits qui à la base n’auraient jamais du sortir de leur quartier. Donc oui lecteur attention au The, attention aussi à ne pas prendre des vessies pour des lanternes, car l’offre et la demande sont très éloignés et l’on ne pourra que te conseiller de faire attention à tes bourses, car en dépit d’un éclair (« Fusty Lines ») cette album de The Audience est un disque de troisième division, ceux que l’on écoute un matin fort en passant l’aspirateur, alors que dehors le facteur entendant ce bruit sortir dira certainement « rien à timbrer de cette musique ». Mention passable




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