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Le groupe du divin Nicolas sirkis chantait (hé hé le verbe chanter collé à sirkis, c’est comme chroniquer avec moi) il y a fort longtemps la machine à rattraper le temps. The bees connaît la machine et heureusement pour eux enfin je l’espére, par pour Indochine. The bees est en fait le beta band avec le désir de pop en escalier des beatles (these are the ghosts). C’est joyeusement festif. L’Angleterre reprend l’idée de groupe avec comme sous-titre le terme collectif. Beta band donc mais aussi the coral pour inspirateurs, alors que la pop 60’s comme tombe pillée. On y croirait presque si on ne se (wash in the rain) faisait pas remettre à la réalité par un copy controlled parasitaire. Car sinon comment ne pas croire face à l’enregistrement d’un david sullivan show avec couleur criarde et patte d’elephant comme frusque tendance (no atmosphere). S’essouflant à la longue, ce sympathique album de bees rassemblera ce qui lui restera de force pour faire de go karts le meilleur titre de ce disque, emballant tout sous des arrangements grandiloquents mais soyeux. The bees aura quand même pri le temps de faire un pas de coté dans sa recherche archéologique pour offrir avec hourglass une leçon de désenchantement chanté avec une classe sans nom. Si ce n’est pas avec du miel que l’on attrape des abeilles, c’est bien dans les vieux pots que l’on fait de la bonne confiture, même quand les ingrédients sont parfois caricaturaux. Piqué...




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