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Ce disque est comme une sonde partie vers le monde inconnu, Paul envoie des bruits, des sons des morceaux de phrases pour vous présenter. Il y a ici un universalisme rare, un vrai disque attrape cœur. Vous allez me dire c’est bon nous avons la conclusion bien avant le cheminement. C’est que Paul stuart ne se sert de la genèse des choses que dans le but de ne pas trouver la fin, mieux prendre les bretelles extérieures, qui perdent les effrayés du GPS. En faisant cette musique Paul ne couvre pas le silence, il le porte comme une relique à jamais perdue pour la vie, un vieux fantasme que les générations passés portée au nue et que la vie moderne a définitivement banni, même en marge d’une supposée civilisation. Des couches prennent l’espace et échafaudent une symphonie de son, laissant de côté des zones d’ombres. Paul déteste les hauts monts, les altitudes, et préférera toujours la plaine (party peoplehaving fun....) pour y faire des rencontres bucoliques. Paul fait dans la posture de l’homme mort avec une musique de vide de communication reliant les atomes. Il désacralise la fierté de la découverte pour en faire un acte simple sans far à paupière. Paul nous rappel air sans le maniérisme guindé (mai au combien réjouissant) mais avec le soupir qu’aurai pu avoir Gainsbourg si il écrivain Melody Nelson en 2005. Une piqûre de rappel de votre civilisation ne serait pas pour vous faire du mal amis terriens. Coup de cœur.




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