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Du nom d’un des plus grands joueurs de l’Olympique de Marseille période Bernard la pudeur la droiture Tapie, Kid Francescoli a repris à son compte la beauté du style de l’uruguayen au visage émacié. Là ou Sauzée jouait les bourrins, l’Altobelli uruguayen passait en finesse en arabesque, me faisant presque aimer l’OM. Kid Francescoli nous fait tout simplement aimer la musique, nous donnant l’envie de passer à l’acte comme un mome de la castellane voulait passer à l’acte après être allé au vélodrome. A l’écoute de villa borghese mille et une choses nous passent par la tête. Cet instrumental résume à lui seul cet album, comme un roudoudou qui témoigne des possibles origines italiennes du groupe, mais surtout qui témoigne de la recherche de l’épure et de la beauté à chaque seconde. Plus rentré que Grandaddy (i’m not john mcentire entre autre qui en dit long sur la culture pointue du kid), Kid Franscescoli est aussi majestueux qu’un aigle qui aurait le caractère timide d’un moineau. La vie est de prendre le bonheur, le beau là où il est. Ne bougez pas, asseyez vous, il est face à vous. Goal.




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