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Me rendant pour mes prochaines vacances dans la Mecque du surf en France, il me sera inévitable de croiser les Komakino. Non que le groupe déverse sur les ondes une musique pour blond décoloré bodybuildé et bronzé, mais plutôt pour les dons de prendre la vague (sens mode) dans le sens du moment. Une ligne de basse que ne renierait pas new order (say something) une fâcheuse tendance à la fausse introspection (interpol, joy division) et pour nous asseoir le sirop sirupeux, le slow écorché (pas que la voix) par une chute de trottinette sous une pluie battante. On ne peut que souhaiter le même sort à Komakino qu’aux affreux suppos qui suivirent les tentations nirvanesque, le goudron et les plumes.




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