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J’ai souvent honte de laisser traîner des disques, que j’écoute pourtant avec plaisir, mais que je n’arrive pas plus à décrire que je pourrais vous parler de la mécanique cantique ou du programme économique de Nihous. Pourtant Les phrases sont là et le disque est assimilé. La séduction n’est pas que le fait de l’allure de la belle, mais aussi par le shanti lift inaugural et aussi rude qu’au flow implacable. Ce qui va me posséder c’est avant tout crash et sa descente en enfer digne du meilleur d’Earthling, la rencontre entre Amon Tobin et Tricky au temps de protection. Toujours dans la même veine, travel bag blues voit Jamika se transformer en Horace Andy sous le joug du très inquiétant nearly god. Jouant entre le noir et la lumière (the bert fait la nique à moloko) jamika connaît ses classiques et calque l’ombre de mélodie nelson (good food) comme adoubement, à un mouvement qui s’est souvent réclamé de l’œuvre du grand serge…le trip hop. Post millenium tension.




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