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C’est à un Nine inch nails dans une vulve en fusion que nous avons à faire ici. On pense à un gros pénis qui culbuterait un orifice accueillant et joueur. Luxxury dérange les reins et catapulte les sens dans une sphère moins austère et cadrée. On ne prend pas la vue ou l’odorat comme des prolongations indispensables. Tout est ici dans le toucher, et si il se fait de l’intérieur cela n’en sera que mieux. Jouisseur et cintré, luxxury joue comme un peintre habile à cacher sous la dernière couche une œuvre utile. C’est avec un son d’une non-épaisseur rare que luxxury nous chatouille et nous provoque, faisant des boutons castrateurs les hématomes d’une libido mise sous l’éteignoir, luxxury vous invite à baiser (pour le mot amour repasser dans 300 ans) avec une beat box trouvé dans une brocante. Un tableau bien noir derrière lequel vous connaissez la chanson.




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