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Echappés de l’écurie Omegat point, Luxxury est de retour avec son sexe de discounter. Fan certainement de la chose, le groupe développe pourtant le non sex appeal avec une rare assurance. Pochette criarde à nous faire regretter le professeur Choron télévisuel, musique binaire et surtout unicéphale, rock and roll (is evil) est une énième resucée de l’esprit (était-il là ?) de la fin des années des lamés et des cuirs, des moumoutes et des moustaches, un disque donnant des désirs mais non pas sexuels. Si l’on excepte la plastique intéressante d’un bassiste aux airs de Kylie Minogue, Luxxury ne fera pas écarter les jambes du premier venu afin de se rendre chez son disquaire alors que sur le moindre site de torrent des vidéos plus grivoises et plus démonstratives vivent avec leurs temps. L’electro rock a des problèmes identitaires. En total décalage.




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