Le mécanisme des morceaux de OMR est toujours la même une lente montée progressive (pléonasme mon cher chroniqueur !). Au final ce changement de dénivellation ne nous amène ni sur des sommets ni dans une suite de pics, faisant de Superheroes Crash un disque monocorde qui se laisse écouter sans jamais imprimer réellement sa présence dans nos esprits. OMR a tellement mis de l’ordre dans ce disque que l’on trouve tout trop facilement oubliant de nous offrir un jeu de piste dans les cordes de ce combo. Alors nous nous y ennuyons comme un Nostradamus de bas niveau qui connaîtrait à l’avance le résultat des matchs du Paris-Saint-Germain….et dans ce cas nous sommes nombreux. Un mur infranchissable par nos pauvres moyens, une production qui se perd dans ses visions sonores, un crash pas vraiment idéal.