De gros yeux à la place de la tête voici ce que je vais retenir de cette compilation de message à caractère publicitaire. Si l’incohérence est la condition même de la portée graphique des residents, la musique tend par son uniformité à une paresse qui fini par agacer voir nous désintéresser. A l’époque du mp3 et de la dématérialisation des images portantes, the residents devraient pour ce qui est de ce commercial album réaliser ce que personne ne réussi à vendre, car dans le domaine graphique le groupe est en tout point remarquable. Pour la musique, c’est comme les vignettes panini de l’album de la coupe du monde 1982. Il me manquait deux fois deux joueurs du Honduras (oui pour les petites nations panini mettait deux photos par image) que j’ai remplacé par des images en double car ils se ressemblaient tous, en gros comme les messages de the residents. Chronique à caractère informative.