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Y a de quoi craquer quand même. Mettez vous à ma place, recevoir l’image d ’une jolie jeune femme, le dos nul, celui ci terrain de jeu de gentilles coccinelles. Emilie est jolie, et elle risque de vous mettre à l’envers, comme les i d’émilie. Son minois, minaudant, rentrant de partout en vous, vous apprivoisant (i wanna be your dog) dans le désert. Emilie joue des sons en se jouant de nous, triturant lise comme serge tritura Laetitia autour de vers à pied ou non. Mère des coccinelles, elle est à l’image de cet insecte, attendrissant et beau celui ci peut vite nous énerver quand il nous importune dans un moment de calme voulu. Chez emilie c’est sa voix qui peut sans secret ni quand il pleut, car quand il pleut emilie émerveille, mais plutôt quand elle dort sur le dernier lit énerver gentiment et tourner autour de Lucie, ou quand elle butine les fleurs. Emilie aime Mum, aime bush (kate par l’autre tache). Elle est gracile elle danse nu, sautillant de nénuphar en nénuphar dans un décors animé. Une journée avec elle est la lumière sera bleue et délicieuse, réchauffant notre corps tout juste recouvert d’une jolie chanson de toile. Nous tisserons des liens entre elle et nous, laissant de côté le métier en laine islandaise. J’ai une coccinelle sur le le torse au niveau du cœur, et suivant son rictus et son œil pétillant elle connaît aussi emilie. Lisez sur mes lèvres.




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