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les algorithmes ont parfois bon goût !

J’écoute beaucoup de musique via SoundCloud. A la fois parce que ma propre musique s’y trouve (http://soundcloud.com/ludobu), à la fois parce qu’on y trouve toutes sortes de mixes improbables d’artistes qui rythment mes journées de travail. Ou de versions lives ou covers de titres que j’apprécie et que j’aime découvrir sous des angles neufs.

Et puis, parfois, l’algorithme décide de m’emmener sur des terres inexplorées. C’est ainsi que j’ai eu la joie de penser entendre de nouvelles chansons des regrettés The Boo Radleys, alors qu’il s’agissait en réalité de production de Patrick Leonard.

Cette fois, le presque hasard m’a amené vers une musique toute douce, alors que je rêvais de beats poum tchak endiablés, parce que la journée était longue. Une guitare très légère, une voix en retrait et quasi murmurée, quelques arrangements tout délicats. Et un coup de coeur immédiat.

Depuis, j’écoute en quasi boucle les morceaux de Linn Ostenberg, une jeune femme d’une trentaine d’années (comparativement à moi, tout est relatif), qui offre toute sa mélancolie de suédoise accro à la musique, qui se rêve groupe de rock mais produit des ballades entre folk et blues.

Un pur bonheur, que je vous recommande à mon tour. Entre humains, cette fois.




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