Dans la famille de l’Eglise de la petite folie, voici peut être le plus mystérieux, celui détenant l’œuvre la plus personnelle quand il ne s’acoquine pas avec les autres membres de cette formidable famille aux multiples projets.
Reprendre Ange sur un site indé, c’est accepter le scepticisme face à ce groupe progressif français aux imageries sentant la naphtaline, laissant perplexes les habitués de la paroisse rock indépendante.
Sans totalement revisiter cette chanson et sa légende, John Trap sort les fioles de Eels ou des Pixies pour donner à Ange l’élixir qui le fera rentrer dans la paroisse indé. Une réussite exceptionnelle, donc.
Anciennes participations