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Travailler sur des photos, écouter Lunt en même temps. Ecouter Water Belongs To The Night … Et se plonger dans les vues saisissantes d’immeubles du 13ème … Perte d’équilibre, vertiges. Sentiments d’étrangeté et de chute. De vides et de pleins. De silences et de saturation. D’accélérations et de ralentis. La sensation effrayante et fascinante d’un saut dans le.

Chaque titre est une ode à l’espace évacué, au ciel écrasant, peut-être à la solitude forcée que l’on remplit comme on peut. Cet inhabité que l’on meuble. Distance que l’on réduit.

Un éternel regret faisant comme une plissure dans le béton ciré. Décor et fin particulière...Esthétique de la chute...Dans le genre on se trouve démuni mais Libre...De quoi ?

"A jamais Un roi de chair et de sang"... Approchant d’un peu trop près les éclairages.

Dans sa course interrompue par un truc indicible...Dévoré par la facilité ou la croyance en un jour...A growing tendency. Même si le regard est dur à soutenir...En noir et blanc...Que souligne le désarroi. Musique déstabilisante. Comme une ligne à franchir, une passerelle blanche à emprunter...Pour gagner ce long cours et voir les choses comme elles sont. Pulsations accélérées...Diablement sournoises. Quelque part dans une poussière d’images.

D’autres bruits délivrés

De toute pression - livrés

A eux-mêmes et qui - bien

Sûr - déconnent - ce que je

Donnerai pour tenir

Encore - d’espaces vides

En zones piétonnes...Pour

Un après...