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Bon autant vous le dire ce genre de disque n’est pas vraiment notre came ici. Nous qui préférons les salle de réunion à la capacité égale aux nombres d’adhérents du Modem, cette musique pour les Stades nous donne autant envie qu’un plat de lasagnes Vivagel bien sûr.

Civil Twilight nous arrive au trois quart d’Afrique du Sud et un pour un quart de Nashville. Cicil Twilight a probablement écouté deux discographies complètes, celle de Radiohead et assurément celle de la bande à Bono. Ouais ouais vous voyez ce que je veux dire. Sauf que, force est de constater que le disque s’écoute agréablement (en préparant un rizotto par exemple) car il combine le mainstream des mastodontes et la petite, mais quand même, impertinence musicale, piochant comme des piques assiette dans les expérimentations de la scène alternative.

Parfois ca dégouline pas mal, on a envie d’interdire à jamais la production de briquet, même si les écrans de portable remplacent ce signe de communion, mais dans l’ensemble le disque passe. Un titre comme « Highway Of Fallen Kings » pourraient ouvrir grand le bras des radios, alors que « It’s Over » devenir le slow imparable pour draguer les minettes à la fête de fin des universités d’été de l’UMP.

Que dire dés lors de plus, pas de camps à choisir, juste un constat que la ligne d’horizon est bien définie, trop peut être. Mais bon regardez là, parfois le soleil s’y couche.




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