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Arno de Cea connaît Quentin Tarantino, Speedy Gonzales et a dû se faire offrir Come On Pilgrim comme cadeau de baptême. En trente minutes il se fera autant canaille que fou du volant avec la désinvolture et ce brin de suréalisme braillard à la Black Francis. Les Pixies reformés devrait se faire du soucis, car Aloha From Cestas praline les intros, tabasse les couplets et oublie les refrains sur le côté. Aloha From Cestas est attirant car il chaparde sans rien casser, laissant même une adresse à qui voudra récupérer son bien. Tout à la fois artilleur et animateur de thé dansant (nao faz mais do que passar / aloha from cestas). Arno De Cea ne sait pas rester en place et prend le premier cactus sur sa route pour se gratter dessus, afin de changer illico de direction. Sixteen banané et jovial (casse toi de ma plage ! / farthlings are from venus) Arno De Cea n’imite pas, ne se limite pas au chemin de terre poussierreux et prend même parfois l’autoroute plus soignée (honolulu minimalism). Je connais Arno De Cea….On m’a offert son disque.




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