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Si la pochette aussi laide que celles que le label Omega record a pu nous offrir, Molloy est plus carré, moins dilettante que les groupes de l’écurie américaine. La production a déjà de quoi faire rougir les adeptes du 256 pistes montées en réseau. Ensuite on sent que les titres sont rodés comme une vieille prostitué de la rue Blondel délocalisée dans les allées de la forêt de Compiègne. Efficace, ce EP joue la carte d’une électro pop survitaminée avec comme point d’orgue un hymne en devenir, le clinquant « gather rond girls » et son rythme qui vous facilitera la tache cet été quand vous vous voudrez vous assurer que votre proie du soir se rase bien les aisselles. Après ce disque le Jeudi aura enfin son heure de gloire, sa connotation festive qui ira bien au delà que les soirées policières de la boite à con…euh teufeuun. EP ouvertement sexuel, ce disque de Molloy revendique le mauvais goût pour rehausser encore le goût du bon. Joey star dirait, c’est de la bombe baby. Bougez votre fion.




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