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Il devient difficile de suivre la discographie de Nick Grey sans passer par un prêt sofinco ou une aide de notre banquier mué artificiellement en Philippe Katerine échevelé. Non pas que les productions de celui-ci donnent à l’inflation des allures de col du Galibier, mais plutôt car celles-ci semblent telles des wagons forment un train ininterrompu. A peine nous le quittions en compagnie de Matt shaw de Tex la homa que Nick se retrouvait avec Empusae. D’une veine qui pourrait alimenter le cœur d’un auditeur du Dead Can Dance, simple black lines in a diagram est au quantique des quantiques ce que l’œuvre de Pasolini aux christianismes, une vision terrifiante dérangeante et artistique. Don’t trust the dogs qui clôture ce triptyque est une inquiétante litanie qui cache mal le malaise ressenti après l’écoute du plus affable simple black lines in a diagram. N’ayant de cesse de traverser le monde et se traverser son monde, Nick Grey n’inquiète pas par loisir, il transcende l’idée même de recherche. Ebouriffant et baroque.




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