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L’image choisie pour la pochette de Grass Widows est plutôt jolie, faire un grand trou dans le mur pour voir l’horizon en gardant une forme de mystère car cette ligne n’est pas forcement dégagée. Christopher Bartlett songwriter anglais vivant en France joue au puzzle sachant que les pièces manquantes seront de sa conception. C’est tout ce qui fait le charme d’un disque qui se laisse savourer sans période de mou, sans brouillard dans la création. Entre folk et ballades plus électriques, The Grass Widows est peuplé de scénettes dans lesquelles des oiseaux bleus (cf Edouard Baer) nous promettent des nuits doucement chahutées. Point d’orgue à ce mini LP, un come back home qui ne mérite pas de fin, qui se perpétue encore, quand bien même il soit terminé. Jonathan Morali (aka Syd Matters) semble s’y amuser comme jamais, et nous avec lui. Faisons des trous dans les murs, ouvrons les fenêtres des monstres y sont gentils, oui c’est un paradis. Jouissif et tendre.




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