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Il est parfois difficile de savoir d’où vient l’inspiration, regardez le regard de Benabar et posez-vous la question ! Il y a les livres, la vie personnelle et pourquoi pas les images, fussent il imaginaires. C’est en tout les cas ce qui inspire Tatiana Sauvage. Le périple de Tatiana Sauvage, ne se traduit pas forcément d’une carte postale de la musique locale. Le principe est plus de laisser ce que l’inconscient absorbe sur une terre inconnue ; la cornemuse ne sera pas forcément l’instrument principal d’un morceau sur Glasgow. Jérusalem, première étape est un point de convergence. Les esprits de Dead Can Dance semblent se lover le long de ce morceau. Plus au nord, vers le froid Reyjkavik se laisse murir, comme si les neiges avaient ralenties la floraison. Reyjkavik semble répondre à Jerusalem, comme un écho plus grave. Avec Reno, le groupe est dans une veine plus psychédélique, plus accidenté. Llassa est comme un combat contre les éléments, une montée rude et pleine d’embuche. Llassa comme hymne olympique laisserait les adeptes du badge piqués au vif et flax longera les frontières de GYBE. All over the world est un disque inspiré.




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