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Si une devise devait coller à ce disque, elle serait, mon enfant si tu ne veux pas faire un pas en avant commence alors par faire des pas vers l’arrière. Pour cet album, de Nick Grey & The Random Orchestra, cette devise était tellement décuplée que je me suis éloigné (certainement trop) de ce disque, certainement effrayé par les vocalises excessives de mister Vasile Malldoveanu. Si vous vous souvenez du passage Passenger de U2, vous vous souviendrez certainement de l’épisode miss Sarajevo, chanson parfaite d’Eno et des irlandais, parasitée par un Pavarotti facocitant et tachant l’œuvre. Pour Nick Grey c’est bien ce qui nous éloigna du disque , car sinon comment passer à côté du poignant The Zealot, ou se passer de Obedient Fathers qui là seulement là, arrive à jongler entre des mondes différents. Car comment oser rapprocher cette pop teintée de classique proche d’un Neil Hannon moins histrion et d’un Perry Blake plus mobile sans passer par-dessus bord, jetée par le personnel de bord. Album certes déroutant pour ce gros point noir, Regal Daylight se faufile et fini par nous faire changer de devise ou de maxime, méfiez de l’arbre qui cache la forêt, la forêt est souvent plus belle.




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