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Au moment de se lancer avec envie dans l’aventure du volume 42 (inscriptions ouvertes sur le lien ci-dessous : venez, venez !), je n’ai pas résisté au plaisir de réécouter le volume 41 toujours disponible (lien en bas de page également : téléchargez, téléchargez !). Et de retomber une nouvelle fois sous le charme de Lunar issu de Elements of Cosmogony, troisième album des toulousains de Dona Confuse.

Ce titre constitue une porte d’entrée idéale à l’univers du trio : basse dense, batterie métronomique, voix claire et enveloppante pour un morceau à la fois aussi dense dans son dernier tiers qu’hypnotique et séduisant dans son ensemble.

Cet envoutement et cette intensité sont les deux lignes de force de l’album qui marque sa singularité par une richesse des approches et une science à mixer les influences des genres des plus convaincantes.

Sur une hybridation de rock progressif / math rock / post-rock notamment sur Solar en ouverture ou Earth un peu plus loin, Dona Confuse invite à une expérience sensorielle et physique intense, voir éprouvante par instant de par son intensité.

Après le séduisant Lunar, les compositions se parent d’envolées synthétiques et addictives sur Cosmos Edges, Ark ou sur l’incan-dansant Jupiter Love. Mais le choc sensoriel ne s’arrête pas là et passe encore un cap sur le tribal Darken astre noir vertigineux et quasiment épileptique.

Dona Confuse avec Elements of Cosmogony signe un disque qui nous a séduit et secoué (dans tous les sens du terme) en 2016, et dont les répliques continuent de se faire sentir en 2017 ; figure de style un peu facile par laquelle le chroniqueur retardataire tente de se dédouaner de son laxisme hivernal.

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