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La première prouesse de Tiger Boy c’est d’avoir caler six chansons en moins de temps qu’il me faudra pour écrire cette chronique, c’est à dire quatorze minutes. La deuxième c’est d’être totalement invisible sur une toile qui pourrait finir par devancer la naissance. La troisième est de ne pas scléroser notre appétit de musique, en dépit d’un appareillage minimum. La quatrième est de faire de ses petites histoires, des minis films qui ne nécessitent pas pour autant l’image. En six titres, Tiger Boy enfonce peut être le clou du DIY, mais il le fait avec classe et suffisamment de talent, pour faire passer ses prouesses comme des actes innés chez lui. A suivre dans l’année qui arrive.




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