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Quand la chanteuse chante « that’s not my name » c’est toute l’histoire du punk et son incursion dans les méandres de l’électronique qui nous claquent en pleine figure. Quand elle chante « traffic light » ce sont les Sundays qui refont surface, pour un titre tout en rondeur câline. Quand elle chante « shut up and let me go » c’est la télé qui explose, faisant resurgir les animaux de Christian Zuber pour une partie de pogo ventral. Quand elle chante « keep your head » on saute sur le lit de bull in the Heather de Sonic Youth pour une jolie partie de bataille de polochon. Quand elle chante « be the one » c’est avec un New Order qui se droguerait avec du sucre candy. On pourra toujours rapprocher the ting tings de The Kills, l’un plus sexe que l’autre, l’un plus rude que l’autre, « we walk » les alliera, « we started nothing » les fera sauter en plein vol, les deux pour un titre qui fait un appel d’air formidable pour la suite. « we started nothing » est comme un trip hallucinogène qui se serait logé au plein centre d’une pomme. Croquez la pomme.




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