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  • 8 janvier 2006 /
    Love is all
    “nine times that same song” (EMI)

    rédigé par gdo
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Une fois n’est pas coutume, c’est après une lecture d’un article dans le dernier numéro des Inrocks en date que je me suis attelé à vous écrire quelques mots, souvent collés on ne sait comment mais jamais avec du scotch, mais toujours avec une fraîcheur qui honore votre serviteur (si je ne m’en jette pas qui va m’en jeter). Après un premier single qui nous avez autant enthousiasmé qu’un film de Bertolucci sous viagra, love is all nous arrive avec un album survitaminé. Comment font ils ? Sachant que nos amis scandinaves connaissent des gros trous dans la luminosité, que la luminothérapie s’est même emparée de notre société de consommation (maman devine ce qui se cache sous le sapin ?) on se demande où vont-ils chercher une telle énergie si ce n’est grâce à une hormone que les adeptes de la glisse prendraient dés leur plus jeune âge. Car que des groupes venant du grand froid du côté de chez Matts Wilander (quel bout entrain celui là), et love is all risque fort de ne pas être le moins connu. Son crapadingue au possible, batterie aux amphétamines (serait-ce cela ?) et une chanteuse se baladant entre la douce coquine prenant la pop pour une sucrerie (a geing had never been his friend) et une furie ne songeant qu’à se calmer que pour reprendre son souffle (busy doing nothing). Enregistré avec les moyens du bord (scotch devrait demander des droits) nine times that same song sonne la charge d’une troupe qui a autant du carnaval que les Kills du duo romantique, un groupe à la puissance maîtrisée mais jamais retenue. Des chevaux fous en quelques sorte qui aurait relu les saintes écritures du punk en s’entraînant au kilomètre lancé. Make out fall out make up….belle devise. Puissant.




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