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À peine nous étions fait à l’idée de quitter provisoirement un premier album qui nous avait tant émus que nous en avions fait une des marches de notre trône de l’an passé, que Thomas Dybdahl revient déjà avec un nouvel album. Plus orchestré que le premier opus, ce Stray dogs réuni dan une même pièce les fan de buckley de mark eitzel pour une jam accomplie avec une aisance et une écriture préalable rendant fou de jalousie le meilleur d’ed harcourt. Plus entraînant que " ….that great october sound ", thomas ravage les cœurs avec un songwriting pouvant trouver son inspiration dans les yeux d’une femme (cecilia). Norvégien de papier, Thomas Dybdahl est pourtant le plus digne représentant du folk, sans jamais lui accoler un pathos souvent trop collant. De clin d’œil frissonnant (pale green eyes) en démonstration d’amitié que l’on jalouse (honey), stray dogs fait taire nos propres mauvais goûts en prenant ces cinquante minutes de majesté comme de bien salutaire geôlieres. Un grand disque de mélancolie stellaire au service d’une écriture proche de la sainteté. Chef d’œuvre.




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