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Quel parfait nom de EP que « kaléidoscope ». Si vous êtes trop jeune pour vous souvenir des après midi avec Denise Fabre et Garcimore, vous avez certainement eu un jour un tube, tout droit sorti d’une baril de bonux et de ses fameux cadeaux. Bonux n’est plus, et c’est Pollux qui le remplace, un Pollux qui n’aurait donc plus l’accent québéquois mais Brésilien car venant de Rio. Mais ce Pollux aurait surtout séché les cours de samba, pour ceux d’anglais, courtisant même les jeunes françaises dansant sur du Daft Punk, avec des jupes toutes scolaires, et un sac troué par des badges à l’effigie de Bloc Party ou du Franz Ferdinand. Pollux from rio regarde par le prisme d’une longue vue transformée en loupe ludique, perdant sa direction sur le médiocre « 0 » tout droit sorti des chutes de studios de House de racket mais gardant le cap le temps de pop song parfaites et ludiques. Pollux est à suivre. Décontracté.




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