> Critiques > Labellisés



Partie du corps qui nous obsède, car nous venons tous de lui, ventre est aussi le nom d’un groupe strasbourgeois. Donner son nom à l’une des plus obsédantes partie de l’humain est comme parler dans une chanson de la fin de l’univers…la réponse est trouvée, c’est probablement la maison familiale des Delerm. Des questions Ventre nous en pause beaucoup, sans véritablement nous donner la moindre réponse. On croit croiser Sonic Youth que c’est Mogwai qui rapplique tout juste dépassé par le Wedding Présent le temps de la cavalcade du joli nom de « oblivio n ». On a du mal à trouver des repères, on est chahuté, malmené, tiraillé entre calme et tension longeant les rives empruntées par Tarwater le temps de « fire curtains ». Obsédant, ventre est un disque aride sur lequel nous aimons nous frotter, car comme l’allumette n’existe pas sans son grattoir, le bonheur en musique ne nait rarement de la caresse soyeuse et douce. Ne compter même pas sur « le phare » pour vous montrer votre chemin, sa lumière se fera absorbée par des embruns mesquins qui feront rebondir les signaux. Ventre vous prendra donc aux tripes, vous retournera, sonnant une forme de fin du confort. N’ayez pas la peur.




 autres albums


 interviews


aucune interview pour cet artiste.

 spéciales


aucune spéciale pour cet artiste.