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Jesse D. Vernon est fou, un vrai fou, un tom waits moins écorché de la voix, mais tout autant de l’âme, un enfant de la folk mondial. Pour ce nouvel opus de morning star Jesse ne nous a pas facilité la tache, snobant le style uniforme pour la ballade entre les quatre points cardinaux. Si on fini parfois par s’y perdre, le fil (à le mode) reste la douceur et la beauté des choses, celle que l’on ne peut palper qu’après avoir toucher le fond. Si david byrne pourrait voir en great day une idée de nouvelle reprise, Stuart stapple lui partirait bien sur une ile déserte décortiquer un the opposite is true aux confins de l’âme torturé. Filant entre nos doigts partant là où ne l’attendait pas (newt love) jesse s’attelle sur un cheval traditionnel (cuckoo) lui imposant un pas que les fins de banquet réclame. Entre émerveillement et déception de ne pouvoir vraiment vous dire le bonheur de l’écoute, je vais m’en remettre au vent et vous le souffler dans toutes les directions. Le bonheur simple de la désorientation dans le vrai.




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