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Prenez deux musiciens suisses qui ne doivent jamais prendre de repos sous peine de perdre la tension qui semble les porter. Ajoutez y une jeune fille de Brooklyn croisée par exemple chez les Sleeping People. Et obtenez Gletscher pour un disque énervé et bouillant, un volcan en fusion, un disque à vous provoquer un œdème cérébral si vous poussez le son trop fort. Sur « Devout » le silence semble être un ennemi. Les trois musiciens s’activent donc pour l’éradiquer, le recouvrir de bruit.

Le mariage de cette musique avec le chant original de notre jeune chanteuse, laisse parfois perplexe (Owl Man), tout comme cette absence de sasse de décompression entre des morceaux qui oscillent entre math rock, punk rock, hard rock……. On aimera « l’Empire » qui sait se faire imposant et intouchable, et on craindra « Le Mal Dominant » instrumental inquiétant et tranchant avec un disque qui mériterait un chapitrage pour être plus appréciable. A suivre




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