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Chroniquer un album de Costello est pour moi à la fois une souffrance et un exercice aussi compliqué que de conduire un A320 avec le permis moto en poche. When I was cruel c’est le titre pourrait résumer le sentiment que j’avais envers cet homme à lunettes. Toujours rangé dans la catégorie t’es gentil mais va voir ailleurs si j’y suis, Costello n’a eut de grâce pour moi qu’en temps que producteur des pogues. Évitons d’énumérer les tares pour essayer de ce poser sur sur disque. Prenant cela comme un grand tour de manège en espérant ne pas gerber le repas du soir. C’est après des expériences diverses que Elvis l’english revient au rock n’roll. Tear off your own head ferait presque passer la pilule de la voix (pardon mais je ne peux pas, cette voix pour moi c’est comme une fourchette dans une assiette……..argh !!). Ne voulant surtout pas suivre le disque je décide mettre la position shuffle et je tombe alors sur Dissolve, 2 minutes 22 secondes d’une démo de sentridoh en panne d’inspiration, me disant que décidément ce n’était pas mon jour de chance, je repris contact avec le bouton de lecture aléatoire…Dust me fera claquer des doigts et continuer vers radio silence qui devra malheureusement me faire abréger cette chronique, mon appareil de lecture tombant en rade, plus rien ne voulant sortir des enceintes. Une fois de plus Costello n’avait le droit de citer chez moi. Un conseil alors me traversa l’esprit, écouter Alibi et le prendre comme exemple. A l’écoute de celui-ci votre choix sera le mien, retour entre le B et de D. Pour ne vexer personne tout cela n’est qu’un prétexte au bon mot.




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