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Intriguante pochette de ce disque qui ne l’est pas moins. La pochette reprend un dessin de la facade de la salpêtrière, centre de soin pour les fous et autres aliénés, lieu ou la neurologie avait construit une forme de sanctuaire. Au pied de la facade une dame en rouge les épaules nues. Entre inquiétude et perplexité, nous décodions l’intérieur de ce packaging découvrant au hasard des remerciements le nom de Kevin Shields qui j’aurai la bonté de ne pas vous présenter. Dérrière Paris Motel se cache une violoniste du nom d’Amy May, un croisement entre Julian Hatfield et Nico. Ile se cache aussi des fantômes (une symbolique à la mode) et des grimoirs poussièreux, dequels sortent des mélodies sans âge mais à la préférence médiévale malgré tout. On rentre et on sort de la salpêtrière et au milieu on y fait des rencontres, on y laisse des messages. Comme une rencontre entre Divine Comedy et Portishead, in the salpêtriére est le disque mystère qu’il me fallait pour quitter cette folie qui consiste à rechercher la perle. Depuis je poursuis la dame en rouge, quitte à monter les trois marches.




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