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En 1991 je me souviens d’un concert aux transmusicales de Rennes, enfilant à la suite Cell Pavement Sugar et Sonic youth. 4 faiseurs de bruit, quatre irritateurs de cellules auditives. En 1991 un homme et une femme n’existait pas, et même si, il y aurait eu un problème à les programmer même dans le cadre d’un tremplin ou plutôt dans la fausse aux lions. En 1997 diabologum portait #3, album manifeste dans lequel une génération de personnes équipées d’oreilles intelligentes feraient sans cesse des voyages (sadiques). Depuis la voix blanche n’a toujours pas de rides sauf que chez certains elle est grise. Malheureusement un homme et une femme en fait parti. En 2002 les démos d’un homme et une femme m’arrivent, elles arrivent en retard de 10 ans ou de 4 c’est selon. La voix y est blanche en contre temps, malheureusement pour eux (pour vous) n’est pas diabologum qui veut. On nous ressuscite Jad wio pour notre plus grand malheur sur la deuxième piste. Après cela on doute que la femme reste, tellement ce morceau bande mou. Pour faire suite le troisième (c’est carré comme disque). C’est sans intérêt, les textes sont limites caricaturaux. Pour éviter d’entamer le divorce allons et restons sur la piste 6. Le groupe, sur ce morceau intéresse car il s’oublie. Non loin de Labradford, un homme et une femme prend se courant pour changer d’air et se promettre une liaison dangereuse mais salvatrice pour la suite de sa discographie. Ce groupe donne enfin tord à la parole et s’ouvre s’il en a le souhait et le courage, un horizon meilleur et enfin se créer un avenir plutôt que d ’avancer dans le passé.




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