Pour nous les hommes (avec un départ comme celui ci je vais j’en suis sûr vous captiver !) une femme sexy c’est le top, le sommet du désir physique. Quand cette bombe est doublée d’une sauvageonne là le sexe fait comme l’escargot il rentre dans sa coquille pour peut que la furie ne se soit pas emparer de l’objet de son désir physique sauvage. Karen O puisque c’est d’elle que l’on parle, est un objet hirsute, sapé façon….Karen O (si si c’est super perso comme accoutrement) et braillant plus qu’elle ne chante (sauf sur le surprenant maps, calme après la tempête). Copine dans la vie du chanteur des impeccables Liars (lit en béton est suggéré et des voisins sourds en surplus) Karen O amena ce groupe là où il ne devrait pas être c’est à dire en haut de l’affiche. Sans cette tigresse black tongue serait un titre pour jeune et jolie, travaillant sa voix comme la pj harvey de dry (comme sur cold light) humidifiant tout ce que le corps comporte de corps caverneux. Pendant féminin de la turgescence John spencer, les yeah yeah yeahs devrait passer le cap de l’hiver sans problème, car même en couinant comme une actrice de porno soumettant un étalon, Karen O en cache des tonnes, gardant le plus subtil, mais peut être le moins intéressant pour les années à venir. Plus débraillé que les White stripes, moins sexy que les kills les yeah yeah yeahs est l’incarnation rock du personnage de la blondinette de american beauty, la bave aux lèvres en plus de cette même notion du chantage à la queue sans jamais la connaître. Pour gaucher et droitier.