e vais essayer de vous parler le plus rapidement possible de ce disque, tout au moins aussi rapidement que eux jouent sur cet album, condensé ravagé, et ravageur d’un esprit punk rock jumelé avec les guiboles de Carl Lewis. Ces poussins triturent les cordes de guitare comme Maïté pouvait le faire avec une anguille, et la batterie, elle, devrait demander un asile politique prochain dans une salle recouverte de matelas. Disque inégal, ce Meet the real Bernstein, casse des œufs à foison sans jamais faire une omelette, sans brouiller les pistes, juste car le rendu au sol est plutôt joli. Si il ne fallait en retenir qu’une ce serait « sushi », ode à la nourriture japonaise et à la musique….indienne !!! Jamais là, car on ne l’attendait pas, Jorge Bernstein clouera le bec au peine à jouir, et jouira de la peine faite au établissement Loué. La grippe aviaire est dans la place.