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On ne s’aventure pas abruptement dans un disque se prénommant law speed. On prend ses distances avec le temps, on demande aux aiguilles de faire du tricot et aux cristaux de se figer, quant aux sabliers on prend soin d’y adjoindre de l’eau afin d’en faire un plâtre imaginaire. Law speed est un disque sans temps, sans borne de départ ou d’arrivée, sans durée castratrice. PFE répète un accord, jusqu’à trouver en lui la justification de son intégration, quitte a perdre le fil de l’histoire (blu). Mais quand la chasse au trésor se facilite d’elle-même on croise les oreilles (a pic) avec ce qui peut se faire de mieux (sunflowers) dans un style musical qui cherche le désaccord parfait dans une vallée tortueuse. A dos de guitare PFE pirate le tuner d’un aristocrate manchot du calibrage, pour lui implanter la notion même de prendre ce que l’on ne peut pas tarder. Il réussi alors la prouesse de faire devenir malléable un récepteur plutôt dopé à la structure géométriquement reconnue. Des erreurs fatales dans un espace sans temps. A découvrir.




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