Sans la tête pas possible de se déplacer, car nos jambes ne peuvent d’actionner. Avec on peut même sans les pieds. Pour survoler par contre il nous faut un avion, ou être journaliste sur TF1. Avec sincabeza on survole un archipel d’îles qui se sont plantées ici entre les latitudes nord du rock musclé (tout terrain ou le retour de RATM), et la latitude sud du post rock. La guitare reste la reine de ces îles, elle porte le drapeau, laissant à la batterie et à la basse l’hymne nationale. Dans cette démocratie maritimo-terrestre, le xylophone (gaucha ! gaucha !) est un atout non négligeable, il suggère la mélodie quand les ouragans et les tornades pointe du doigt le lieu de la destruction. Des îles sous la tempête, des îles peuplées de tortoise et du courant labradford…. Des îles, et des têtes pour les visiter.