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Sacré patchwork sur le canapet de mamie pour cacher le canapé qui lui aussi prend de l’âge, ce carré composé de plusieurs carrés de tissus aussi different qu’esthétiquement discutable. Mélanger pour cacher n’est pas la motivation de Thomas Aussenac, ou alors le garçon passe à côté de son talent. Pourtant ce EP est un patchwork de trois ambiances et même trois styles totalement différents. Thomas passe d’un blues cabaret sous l’égide Mac Cartney à une chanson que l’on ne souhaiterait même pas à Benabar , et pourtant on lui souhaite une retraite artistique à l’histrion pas très convivial. C’est another, dernier morceau du EP qui fera la difference et pencher la ballance. another se cache sans cesse laissant à peine présager de la suite, comme si suicide partait à la chasse à la biche et passait de l’electro musclée à une douce caresse quasi hybride. Un patchwork donc, mais une descente de canapé à tailler dans le tissus du dernier carré.




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