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La derrière fois que j’ai vu un ami pleurer en face de moi je lui ai fait écouter un morceau de will oldham, lui disant écoute lui il va encore plus mal que toi. Acte raté, l’ami en question déprime depuis ce jour encore plus de ne pouvoir exprimer un désespoir que nous mettons ou nous pouvons, avec le même talent que l’auteur de hope. John Martinez a du pleurer sur les épaules d’un ami, mais lui de plaisir de tenir entre ses doigts les possibilités du vide, les facilités du relâchement. En deux titres, john martinez chante comme il peut, mais laisse sortir ce que certains ne peuvent que mettre en acte (le grand saut). Tantôt brouillon tantôt brillant, en deux titres John Martinez ne parviendra toujours pas à consoler mon ami. À suivre.




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