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  • 1er mars 2010 /
    Spy
    “42”

    rédigé par gdo
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Dans la série j’ai failli jouer au Frisbee et se prendre un boomerang, 42 est l’étalon. Spy n’a pas composé la suite au 41 de swell, d’ailleurs spy ne doit pas connaître swell. Spy connaît Christina Ricci (à en faire un tube assuré), spy connaît du monde et spy le montre et montre beaucoup, laissant une énergie folle sortir de partout, tripes et boyaux, pilonnant sans faire de manière. Textes parfois hilarants, jamais parfaitement comme il faut, jamais chanté parfaitement, mais toujours sous un halo de sincérité rafraîchissante. Travolta sous ses défauts séduit à se le repasser, tout comme 42 dans son ensemble. Jouant à Sonic youth quand l’électricité n’est pas ravitaillé, à radiohead (feng-phui) quand le facteur sonne à la porte avant de partir, c’est à Dionysos que spy est le plus proche. Si le style et moins folk, spy a le même bonheur de tout balancer dans tous les sens quitte à se prendre les mines en retour dans la tronche, comme il aurait été mon cas si j’avais joué au flying saucer avec cette galette. A suivre.




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