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Nous ne sommes qu’aux prémices de ce que l’art, dans toute sa diversité aura à nous offrir dans les mois à venir, quand elle questionnera cette période. Alors que nous ne sommes toujours pas sortis de celle-ci, les artistes interrogent pour le moment leur façon de communiquer avec l’art. C’est le cas d’Akira Kosemura, qui pendant ce temps suspendu a délaissé les improvisations pour penser et écrire ses mélodies. Empreintes d’une forme de solennité, de recueillement, les 14 morceaux de « 88 Keys » sont comme ces jardins japonais dans lesquels le minéral dégage une vie aussi vivace et puissante que le végétal. Fort certainement de ces traditions, Akira Kosemura transpose celles-ci dans des moments où l’intime côtoie l’universalité de ces mélodies intemporelles et prenantes. Empreintes d’une forme de solennité, de recueillement, les 14 morceaux de « 88 Keys » sont comme ces jardins japonais dans lesquels le minéral dégage une vie aussi vivace et puissante que le végétal. « 88 Keys » ou la sublimation de la suspension du temps.




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